Correspondance entre vous et moi
Amour des mots, de l’écriture
Brûler au feu des premières fois
En quatrains d’hardie, facture
Petit clin d’œil à d’autres usages
Une tentative d’esprit soyeux
Un bouquet de fleurs, un hommage
Cyrano…un peu pâle, mais heureux
Bien des courriers imaginés
Polis, jolis, traditionnels
Celui-là n’échappera pas au panier
Rien ici-bas n’est éternel
Edmond Rostand est magistral
Fleurir le dire pour toutes choses
Piquer d’une verve, un régal
Pour peu que le caractère, ose
Alors, milles pardons, je vous prie
Du mélange, ce curieux style
Un petit zeste de poésie
Joue des coudes aux rimes habiles
En vous et moi, souffle, en notre Âme
La brise de la bienveillance
Aucune œuvre ne mérite un blâme
Toute création recèle un sens
Nous semblons tous deux être curieux
Et l’on aime continuer d’apprendre
Découvrir, sourire d’un esprit vertueux
Mais restant humbles pour comprendre
Amusons nous, dans cette danse
De nos facettes sous les projecteurs
C’est ’perdre la tête’, qui est une chance
À lire...des Maîtres sur le Bonheur
Dans l’enthousiasme des intentions
Je me sens tel un gamin joyeux
C’est venu comme ça, une intuition
Fiez vous à la vôtre, à l’innocence d’un jeu
Ah, cette question de la spontanéité
Poser les mots, en peser l’élégance
Mais quel plaisir, quel souffle de liberté
Répondre aux vôtres parlant d’Âme, de chance
Et même s’il y aura un atterrissage
Tout en douceur vers la Réalité
Vive les moments où l’on n’est pas Sages
Et ceux où l’on se sent moins inspirés
C’est là qu’est notre Humanité
Faire de notre mieux, aller à l’équilibre
Aimer "à donf", aimer ce qui EST
Tout ce qui augmente notre Joie de Vivre
Comme ce sera agréable de recevoir
Encore des lignes de votre main
Ce qui vous plaira, le cœur a son art
Le mien est à vous, je vous salue bien.
Amour des mots, de l’écriture
Brûler au feu des premières fois
En quatrains d’hardie, facture
Petit clin d’œil à d’autres usages
Une tentative d’esprit soyeux
Un bouquet de fleurs, un hommage
Cyrano…un peu pâle, mais heureux
Bien des courriers imaginés
Polis, jolis, traditionnels
Celui-là n’échappera pas au panier
Rien ici-bas n’est éternel
Edmond Rostand est magistral
Fleurir le dire pour toutes choses
Piquer d’une verve, un régal
Pour peu que le caractère, ose
Alors, milles pardons, je vous prie
Du mélange, ce curieux style
Un petit zeste de poésie
Joue des coudes aux rimes habiles
En vous et moi, souffle, en notre Âme
La brise de la bienveillance
Aucune œuvre ne mérite un blâme
Toute création recèle un sens
Nous semblons tous deux être curieux
Et l’on aime continuer d’apprendre
Découvrir, sourire d’un esprit vertueux
Mais restant humbles pour comprendre
Amusons nous, dans cette danse
De nos facettes sous les projecteurs
C’est ’perdre la tête’, qui est une chance
À lire...des Maîtres sur le Bonheur
Dans l’enthousiasme des intentions
Je me sens tel un gamin joyeux
C’est venu comme ça, une intuition
Fiez vous à la vôtre, à l’innocence d’un jeu
Ah, cette question de la spontanéité
Poser les mots, en peser l’élégance
Mais quel plaisir, quel souffle de liberté
Répondre aux vôtres parlant d’Âme, de chance
Et même s’il y aura un atterrissage
Tout en douceur vers la Réalité
Vive les moments où l’on n’est pas Sages
Et ceux où l’on se sent moins inspirés
C’est là qu’est notre Humanité
Faire de notre mieux, aller à l’équilibre
Aimer "à donf", aimer ce qui EST
Tout ce qui augmente notre Joie de Vivre
Comme ce sera agréable de recevoir
Encore des lignes de votre main
Ce qui vous plaira, le cœur a son art
Le mien est à vous, je vous salue bien.
